22 octobre 2010
Les âmes aiment encore
Si les rives de tes rêves n'étaient que fresques
D'un ultime fantasme, je me serai abandonne
A la viduité de mon existence,
mieux en substitut divin
A la peinture des bords de ce tableau jauni
Par les après combats lipidiques
De ma forgeuse jeunesse.
Même Picasso n'y verra que du feu
Sans pour autant éteindre cette verve
Qui enfin colorie nos fantasmes les plus érotiques de ses plumes, de ses pinceaux qui dessinent
Et tracent et retracent les arabesques de l'amour, les rives de l'amour, les détours de l'amour,
l'ombre de l'amour et rien que l'amour.
Cet amour qui enivre t'aime
et te chante sa reconnaissante mélopée.
je t'aime fokoku
bertand
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